
Le 1 juillet 2025 une librairie d’études scientifiques revues par les pairs intitulée « effets néfastes du vaccin à ARNm contre la COVID-19 », compilée par une équipe d’experts incluant le Dr Martin Wucher, le Dr Byram Bridle, le Dr Steven Hatfill, Erik Sass, et d’autres chercheurs a été publiée. Cette compilation, accessible via Zenodo (DOI: 10.5281/zenodo.15787612), regroupe plus de 700 études évaluées par des pairs, suggérant des dangers biologiques fondamentaux liés à la technologie des vaccins à ARNm. Cet article explore le contenu de ce post et de la librairie, en mettant en lumière les implications potentielles pour la santé publique.

Exploration de la Librairie sur Zenodo
La librairie, mise à jour le 1er juillet 2025 (version 2), est une ressource exhaustive hébergée sur Zenodo que les autorités scientifiques et sanitaires peuvent donc consulter. Voici un aperçu des sections clés :
- Pathogénicité de la protéine spike (375 études) : cette section compile des preuves que la protéine spike, initialement conçue comme un antigène de surface du SARS-CoV-2, devient pathogène lorsqu’elle est produite en grande quantité par les vaccins. Les dommages incluent des atteintes cardiovasculaires (comme la myocardite) et neurologiques, un point illustré par les images de cœurs et de cerveaux dans le post.
- Biodistribution (61 études) : ces recherches montrent que l’ARNm et la protéine spike ne restent pas localisés au site d’injection, mais se propagent dans des organes comme le cœur, le foie et les ovaires, soulevant des questions sur la sécurité à long terme.
- Persistance de l’ARNm et de la protéine spike (41 études) : des études animales et humaines confirment que l’ARNm et la protéine spike persistent bien au-delà des quelques jours initialement estimés, parfois plus d’un an, comme suggéré par les articles ouverts dans l’image.
- Toxicité des nanoparticules lipidiques (LNP) (80 études) : Les LNP, essentielles pour encapsuler l’ARNm, sont associées à des réactions inflammatoires et allergiques, notamment via le PEG, un allergène connu.
- Imprinting immunitaire (140 études) : ce phénomène, connu sous le nom de « péché antigénique original », indique que les vaccins pourraient limiter l’adaptabilité du système immunitaire face à de nouveaux variants.
- Variants viraux ou émergence de variants (70 études) : les données suggèrent que les vaccins ont pu accélérer l’évolution de variants échappant à l’immunité induite.
Implications et Réactions
Le post de Nicolas Hulscher, accompagné d’une image frappante d’un livre intitulé COVID-19 mRNA Vaccine Harms, détaille ces six catégories avec des commentaires percutants : « Ces études indiquent que la protéine spike cause des dommages vasculaires, neurologiques, cardiaques et immunologiques », « les ingrédients des vaccins se dispersent dans tout le corps, s’accumulant dans des organes vitaux », et « ces éléments persistent dans l’organisme pendant des années, contrairement aux affirmations initiales ».
Nicolas Hulscher, MPH
@NicHulscher
🚨 BREAKING: Landmark Peer-Reviewed Research Library on mRNA Injection Harms Just Released
Over 700 peer-reviewed studies confirm the fundamental biological dangers posed by mRNA technology.
Here’s what’s inside ⬇️
I. Spike protein pathogenicity research library (n=375)
Spike alone causes vascular, neurological, cardiac, and immunological damage — without the virus.
II. Spike protein and “vaccine” mRNA biodistribution studies (n=61)
The injection ingredients travel throughout the body — accumulating in vital organs.
III. Spike protein and “vaccine” mRNA persistence studies (n=41)
mRNA and spike linger in the body for years — far longer than claimed.
IV. Lipid nanoparticle toxicity and allergenicity studies (n=80)
LNPs and PEG are inflammatory, allergenic, and cytotoxic on their own.
V. COVID-19 “vaccine” immune imprinting library (n=140)
Shots mis-train the immune system by locking response to the obsolete Wuhan strain.
VI. SARS-CoV-2 vaccine and viral variant research library (n=70)
Vaccines drove escape mutations — accelerating immune-evasive variant emergence.
When public health authorities claim we “need more evidence” on COVID-19 vaccine safety, they are deeply mistaken.
📖 View the full library: https://zenodo.org/records/15787612
https://twitter.com/NicHulscher/status/1940528104037839152
Cette publication a suscité un éventail de réactions sur X, allant de demandes urgentes de retrait des vaccins à des appels pour intégrer ces données dans des systèmes d’IA comme Grok 3, ou ChatGPT, souvent critiqués pour leur alignement sur un « consensus scientifique » établi. Certains utilisateurs expriment une frustration face à l’absence de responsabilité, tandis que d’autres insistent sur l’urgente nécessité de réévaluer les politiques de santé publique.
Bien que la librairie n’établisse pas une causalité définitive, elle répond aux critères d’observation prolongée et de transparence, remettant en question les protections légales actuelles contre la responsabilité.
Perspective Critique
Cette compilation représente un effort remarquable pour centraliser des données critiques, répondant directement aux objections des autorités sanitaires qui invoquaient souvent un manque d’études de référence, préférant s’appuyer sur les données des fabricants. Les thérapies géniques à ARNm, développées rapidement sous des autorisations d’utilisation d’urgence (EUA), ont fait l’objet d’études post-autorisation, mais les décisions initiales ont parfois ignoré les principes de prudence habituels.
Par exemple, la vaccination des femmes enceintes a été recommandée malgré un manque initial de données, imposant des contraintes significatives à ce groupe vulnérable lors de visites médicales. Des études récentes (Manniche et al., Guetzkov et al) suggèrent une toxicité et un impact sur le fœtus, renforçant les inquiétudes.
Cependant, cette librairie met en lumière des lacunes dans les premières évaluations de sécurité, ce qui en soit pose un réel problème dans la prise de décision des autorités sanitaires. Certains appellent d’ores et déjà à une validation indépendante et une analyse contextuelle par des organismes de santé comme l’OMS ou la FDA, alors que ces mêmes entités, ayant approuvé ces vaccins en urgence et parfois en contournant des règles élémentaires de précaution, pourraient se trouver en conflit d’intérêts pour réévaluer ces données ex post ! Un point sur lesquels les chercheurs indépendants seront sans nul doute particulièrement attentifs laissant la question en suspens :
« Comment des organismes ayant approuvé ces produits en urgence, parfois en enfreignant certaines règles élémentaires de précaution vont-ils pouvoir prendre en cause des études ex post qui viendraient contredire certaines de leurs décisions ou recommandations ? »
La boucle est-elle sur le point de se refermer avec les enjeux de la perte de chance
Cette publication marque un tournant dans le débat sur la sécurité des vaccins à ARNm. Avec plus de 700 études peer-reviewed, cette librairie offre une ressource précieuse pour les chercheurs, les décideurs et le public. Elle appelle à un dialogue immédiat et équilibré, afin d’intégrer ces nouvelles données aux preuves d’efficacité contre les formes graves de COVID-19 et ainsi avoir une balance bénéfice risque réelle et indépendante. Si la toxicité venait à dépasser les bénéfices, une suspension des autorisations pourrait être envisagée. Mais comment en est-on arrivé là ?
La boucle pourrait bien se boucler en revenant à la question des traitements précoces, délibérément écartés ou discrédités lors de la pandémie. Comme le souligne un article de France-Soir d’aout 2020, (Guerre du vaccin : États-Unis, Russie, Chine, UE – Il faut éliminer le soldat hydroxychloroquine), l’élimination systématique des thérapies précoces (comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine) par les autorités et l’industrie pharmaceutique aurait servi à imposer les vaccins comme seule solution viable, maximisant les profits et consolidant un contrôle narratif. Cette stratégie aurait pu être motivée par des intérêts économiques et géopolitiques, où la rapidité de développement des vaccins à ARNm a primé sur une évaluation rigoureuse des alternatives.
Le professeur Christian Perronne déclare : « cette marginalisation a entraîné une perte de chance significative pour les patients. Des milliers d’individus, privés d’options thérapeutiques précoces potentiellement efficaces, ont vu leur état se dégrader, augmentant les hospitalisations et les décès. Si les données de la librairie confirment des risques majeurs, cette perte de chance pourrait être considérée comme une tragédie évitable, exacerbée par une focalisation unilatérale sur les vaccins.
Les autorités sanitaires ont le devoir de prendre en considération cette compilations d’études. Ne pas le faire serait accentuer plus encore la perte de chance éventuelle des patients »
https://zenodo.org/records/15787612
COVID-19 mRNA « vaccine » harms research collection
Creators
Description
Compiled by Dr. Martin Wucher, MSC Dent Sc (eq DDS), Dr Byram Bridle, PhD, Dr. Steven Hatfill, Erik Sass, et al.
Version 2, last updated July 1, 2025. Corresponding author: .
This compilation originated with the authors’ contributions to TOXIC SHOT: Facing the Dangers of the COVID « Vaccines » (Foreword by Sen. Ron Johnson)
I. Spike protein pathogenicity research library (n=375)
Originally part of the outer coat of the SARS-CoV2 virus, where it functions as a “key” to “unlock” (infect) cells, spike proteins are also produced in large amounts by the mRNA “vaccines,” triggering a short-lived immune response in the form of antibodies. However, a growing body of evidence has shown that the spike protein is harmful by itself, including over 370 peer-reviewed scientific papers collected in section I.
II. Spike protein and “vaccine” mRNA biodistribution studies (n=61)
In addition to the pathogenic characteristics of the spike protein antigen, over 60 peer-reviewed studies have demonstrated that both the “vaccine” mRNA encoding for the spike protein antigen and the spike protein itself can penetrate distant tissues, causing systemic harms.
III. Spike protein and “vaccine” mRNA persistence studies (n=41)
Over 40 peer-reviewed studies confirm that “vaccine” mRNA and the resulting spike protein antigen persist in the tissues of human vaccine recipients and animal test subjects far longer than claimed by public health officials; viral spike proteins, resulting from natural infection, have been shown to persist even longer, bolstering concerns that the identical “vaccine” spike may also last longer than anticipated.
IV. Lipid nanoparticle toxicity and allergenicity studies (n=80)
80 peer-reviewed papers show that ionizable lipid nanoparticles (LNPs) used in the experimental mRNA injections are highly inflammatory on their own, including their polyethylene glycol (PEG) component, an established cause of anaphylaxis (an extreme allergic reaction).
V. COVID-19 “vaccine” immune imprinting library (n=140)
Immune imprinting, dubbed “original antigenic sin” by Thomas Francis Jr., occurs when memory B lymphocytes produced in response to an initial viral infection dominate subsequent responses to related viruses. 140 peer-reviewed papers suggest that COVID “vaccines” imprinted the immune systems of recipients through exposure to the “wild type” spike protein from the original Wuhan strain, shaping their response to subsequent variants in potentially harmful ways.
VI. SARS-CoV2 vaccine and viral variant research library (n=70)
In addition to the pathogenicity, distribution, and long persistence of the “vaccine” spike protein, this collection of 70 peer-reviewed papers suggests the “vaccines” applied strong selective pressure to the fast-mutating SARS-CoV2 virus, quickly giving rise to “vaccine”-resistant variants.
Files
Source : https://zenodo.org/records/15787612
Via : Réinfo Québec