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Les vaccins ARNm anti-COVID peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes selon plus de 100 études

Event 24 juin 2025
viktor-forgacs-FcDqdJUM6B4-unsplash

Auteur(s) Mathilde Debord

Publié le 24 juin 2025 – 10:04

Reprise de l’article publié sur Lepointcritique.fr avec l’aimable autorisation de l’auteur.

Une partie de la communauté scientifique a alerté il y a plus de quatre ans sur les risques de cancer associés aux injections à ARNm contre le COVID. Les données de la littérature suggèrent aujourd’hui qu’elles auraient la capacité d’induire, d’accélérer ou de réveiller des cancers de 17 manières différentes.

La vaccination de masse contre le COVID est-elle à l’orgine d’une explosion des cas de cancers comme l’affirment de nombreux scientifiques, dont certains l’avaient prophétisée dès mai 2021 ? Un collectif d’oncologues français a publié il y a deux ans une tribune dans laquelle ils réfutent catégoriquement cette hypothèse : « À ce jour, aucun lien d’alerte n’a été publié entre une incidence accrue ou risque de progression rapide de cancer après vaccination anti-COVID-19 ou après une autre vaccination. » Ils affirment aujourd’hui être confrontés à un tsunami de cancers fulgurants, en particulier chez les jeunes, auquel ils disent ne trouver aucune explication rationnelle :

On a une augmentation foudroyante du cancer du pancréas sans qu’on ait la moindre idée de la raison. Il s’est passé quelque chose ? On ne sait pas. Le monde entier, toute la cancérologie mondiale se pose la question. […] Le système qui nous permet de comprendre le cancer est mis en défaut.

Pr Khayat, cofondateur de l’InCA

Si le Pr Khayat est cohérent, il ne peut théoriquement pas exclure que la vaccination puisse être à l’origine de cette explosion des cas de cancer puisque celle-ci est (1) extrêmement récente si l’on se réfère à ses précédentes interventions, (2) elle touche l’ensemble de la planète – en particulier les populations qui ont été contraintes de s’injecter pour conserver une vie sociale ou qui ont fait une promotion agressive de la vaccination (les influenceurs notamment) –, et (3) elle semble répondre à une logique inédite. Comme le ferait une substance utilisée pour la première fois chez l’homme, dont on ne connaît qu’une partie de la composition et dont l’impact sur le cancer n’a pas été évalué avant son déploiement massif[1].

L’épidémiologiste Nicolas Huscher a répertorié en mars dernier 10 manières dont les injections à ARN messager anti-COVID peuvent provoquer le cancer. Cette liste, issue d’une étude[2] publiée en décembre 2023 dans la revue Cureus peut selon nous être aujourd’hui étendue à 17 items sur la base (non exhaustive) de plus de 100 études.

1. Instabilité du génome

Le risque d’une intégration de l’ARN vaccinal dans le génome des personnes vaccinées a été confirmé en 2021 par une série d’études[3],[4],[5]. La mutagenèse insertionnelle induite par l’intégration de l’ADN provoque des mutations de décalage de trame (frameshift) qui induisent la production de protéines aberrantes conduisant au cancer.

L’Agence européenne des médicaments affirme toujours que l’ARNm vaccinal ne peut pas pénétrer le noyau des cellules, cette intégration supposant le recours à une enzyme (transcriptase inverse) qui serait, selon elle, absente des cellules humaines. Or cette affirmation, qui ne repose sur aucune preuve, a été infirmée en juin 2021. Ce phénomène a été observé en juillet 2023 chez des souris, où une seule injection d’ARNm a permis d’induire une modification génétique[6]. Plus récemment, de la protéine Spike vaccinale a été retrouvée dans des tumeurs de patients vaccinés[7], ce qui suggère qu’il peut s’intégrer dans le génome, la première conséquence redoutée d’une telle intégration étant le développement d’un cancer.

Cette hypothèse a été relancée mi-avril par les scientifiques d’un laboratoire de recherche biomoléculaire (Neo7Bioscience) et des chercheurs de l’Université du Nord-Texas[8]. Les données moléculaires qu’ils ont recueillies suggèrent que l’ARN dérivé du vaccin pourrait être rétrotranscrit dans le génome de l’hôte, modifiant de manière permanente la régulation des gènes. Elles révèlent également des signes cancérigènes et un effondrement immunitaire.

2. Évasion immunitaire

La protéine Spike (S2) inhibe plusieurs gènes suppresseurs de tumeurs (p53, BRCA1/2, RB1)[9],[10],[11], auxquels elle se lie, permettant aux cellules cancéreuses d’échapper à leur détection et à leur destruction par le système immunitaire. L’épidémiologiste Nicolas Hulscher parle d’un « retournement oncogène ».

La première étude démontrant cette interférence de la protéine Spike avec la protéine p53, également appelée « gardienne du génome » a été publiée en octobre 2021[12] par Jiang et al. L’étude a été rétractée en mai 2022 sur ordre du NIH d’Anthony Fauci. Une demande de publication des échanges de mails concernant cette rétraction a été déposée dans le cadre de la loi d’accès à l’information, mais le NIH refuse toujours de communiquer les 490 pages de communications. Ces résultats ont été confirmés in vitro par Zhang et El Deiry[13] en 2024 et un mois plus tard in vivo[14].

3. Mécanisme de réparation de l’ADN altéré

La protéine Spike vaccinale induit des altérations génomiques et inhibe le système de réparation de l’ADN (Jiang, Zhang et El Deiry). Ce mécanisme se met normalement en place en cas d’agression de l’organisme, pour prévenir des mutations qui peuvent favoriser l’apparition de cancers, réparer des erreurs affectant les oncogènes ou les gènes suppresseurs de tumeurs.Son altération induit une immunodéficience qui est « une voie directe vers le cancer[15] ».

La séquence stratégique de la protéine Spike brevetée en 2016 par Stéphane Bancel, le PDG de Moderna, permettrait de cibler un gène (MSH3)[16] dont la modification entraîne un déficit de la réparation de l’ADN[17]. Les voies par lesquelles la protéine Spike inhibe ce mécanisme sont répertoriées dans l’article de Başaran et al.[18] publié en avril dernier.

4. Inflammation chronique

Les nanoparticules lipidiques[19],[20] servant au transport de l’ARNm vaccinal induisent une sécrétion massive de protéines inflammatoires[21],[22],[23],[24] (tempête cytokinique) ouvrant la voie à l’émergence de cellules souches cancéreuses. Ces cellules sont susceptibles de se développer dans l’ensemble des organes (y compris les cellules souches sanguines[25]) compte tenu de la biodistribution généralisée de la protéine Spike[26],[27], dont la pathogénicité est décrite de manière détaillée dans trois revues de la littérature[28],[29],[30] et dans plus de 320 études. Cette inflammation peut résulter en un épuisement des cellules T, qui ne sont alors plus en mesure d’éliminer les cellules cancéreuses.

L’IA Grok confirme que les injections sont à l’origine d’une inflammation aiguë, mais qui se résoudrait en quelques jours (Bergamaschi, Ogata) et qui serait comparable à celle d’autres vaccins. Il précise qu’une inflammation chronique nécessite une stimulation prolongée, alors que « la production de Spike vaccinale est limitée dans le temps (l’ARNm est dégradé en quelques jours, la Spike en quelques semaines), rendant improbable une inflammation chronique ». Cette affirmation est contredite par une série d’études[31], notamment quatre études récentes où la protéine Spike a été retrouvée dans le plasma sanguin jusqu’à 709 jours après une injection[32] (245 jours[33] ou 12 mois[34] selon d’autres études), et jusqu’à 17 mois[35] dans les tissus et les organes de patientes japonaises, en particulier le cerveau. Plus de quatre ans après les premières injections, personne ne sait en réalité si le corps s’arrête de la produire.

5. Dysrégulation du système immunitaire

La vaccination ARNm entraîne une suppression des cellules T (lymphopénie)[36] et des réponses à l’interféron de type I[37], qui joue un rôle crucial dans la surveillance et la prolifération du cancer. Ces modifications conduisent à une altération de l’immunité innée[38],[39],[40],[41] et à une reprogrammation de la réponse immunitaire adaptative[42],[43]. Une dérégulation du système immunitaire dans le système nerveux central a également été rapportée[44].

Dans le cadre de la vaccination contre la COVID-19, cette inhibition garantit une synthèse appropriée des protéines de pointe et une activation immunitaire réduite. Il est prouvé que l’ajout de 100 % de N1-méthyl-pseudouridine (m1′) au vaccin à l’ARNm dans un modèle de mlanome a stimulé la croissance du cancer et les métastases, tandis que les vaccins sans modification de l’ARNm n’ont pas été induits par des résultats opposés, suggérant ainsi que les vaccins à l’ARNm COVID-19 pourraient aider le développement du cancer.

Rubio-Casillas et al. Review: N1-methyl-pseudouridine (m1Ψ) : Friend or foe of cancer? https://doi.org/10.1016/j.ijbiomac.2024.131427.

Grok cite une étude de 2020[45], réalisée par Ugur Sahin, le CEO de BioNTech, qui soutient que les vaccins à ARNm induisent des réponses robustes des cellules T CD4+ et CD8+ persistantes, détectées dès les premiers jours post-vaccination, ce qui contredirait l’idée d’une immunosuppression générale et durable. Les propres données cliniques de Pfizer démontrent au contraire une diminution des lymphocytes T de 6 à 8 jours après la vaccination chez 45 % à 46 % des participants[46] dont on sait aujourd’hui qu’elle s’aggrave dans le temps.

6. Perturbation de l’ARN

L’ARNm vaccinal est un ARNm modifié dans le but d’accroître sa longévité et sa production. La technique utilisée par Pfizer et Moderna (optimisation des codons) perturbe les microARN, qui sont des acteurs essentiels de la prolifération et de la mort cellulaire, notamment des cellules cancéreuses[47],[48]. Une étude a montré en 2021[49] que la protéine Spike vaccinale est transportée dans des vésicules (exosomes) contenant des microARN grâce auxquels elle va empêcher le fonctionnement des interférons et donc inhiber l’immunité naturelle, en perturbant les processus cellulaires comme la prolifération ou la surveillance des tumeurs.

7. Activation de voies oncogènes

La protéine Spike est soupçonnée d’activer indirectement plusieurs voies qui jouent un rôle crucial dans la croissance tumorale, la prolifération et la survie cellulaire (MAPK, PI3K/AKT/mTOR[50],[51],[52]), et d’augmenter le niveau de l’interleukine 6 (IL-6), un marqueur proinflammatoire impliqué dans l’immunité, l’inflammation, la croissance tumorale, la progression des métastases ou encore la résistance à l’immunothérapie. Son élévation chronique est associée à une inflammation susceptible de favoriser le cancer dans certains contextes.

Grok précise là encore qu’aucune étude n’établit formellement de lien entre ces perturbations et le cancer, mais une étude récente[53] a retouvé des preuves métaboliques d’une activation de certaines voies oncogènes, dont la voie PI3K/mTOR chez des patients ayant développé une leucémie dans les semaines suivant une deuxième ou troisième injection Pfizer.

8. Microenvironnement tumoral

Les nanoparticules lipidiques (NPL) s’accumulent dans les tissus via l’effet Enhanced Permeability and Retention (EPR), qui se caractérise par une perméabilité accrue des vaisseaux sanguins tumoraux et une rétention prolongée des nanoparticules dans le tissu tumoral. Les NPL provoquent ainsi une propagation plus rapide des cellules cancéreuses[54][55]pouvant expliquer le phénomène de « turbo cancer » décrit par les pathologistes et les oncologues et observé dans une étude portant sur des souris[56]. Une telle accélération d’un processus pathogène est-elle valable pour d’autres maladies induites par la protéine Spike ? Des chercheurs suédois ont en effet démontré en 2023 que la protéine Spike pouvait non seulement induire la maladie d’Alzheimer mais qu’elle diminuerait le temps d’incubation de la maladie de 80 %[57], provoquant ainsi une forme inédite de « turbo maladie d’Alzheimer ».

9. Réveil des cancers dormants

Les modifications induites dans le microenvironnement tumoral par l’inflammation associée au COVID-19 ou la vaccination peuvent affecter le réveil du cancer et la rechute métastatique[58].

Des patients qui n’avaient plus de cancer depuis de nombreuses années font soudainement une rechute avec des cancers agressifs et explosifs peu après avoir reçu des doses de rappel du vaccin contre la COVID-19. Ces cas montrent une croissance tumorale très rapide après l’administration du rappel. Ces cancers turbo apparaissent plus rapidement et avec une virulence plus importante que ce à quoi nous nous attendions chez les patients, même ceux qui étaient stables depuis des années. Les autorités de santé publique sont réticentes à reconnaître cette corrélation. Ce phénomène se produit partout dans le monde où les vaccins à ARNm ont été administrés.

Pr Ian Brighthope. Le grand débat : Port Hedland contre le Premier ministre. 29 Nov. 2024

La capacité de la protéine Spike du SRAS-CoV-2 à fusionner plusieurs cellules[59],[60],[61] permettrait d’expliquer la cascade de complications du COVID-19, dont le cancer. La formation de syncytia résultant de cette fusion pourrait en effet contribuer au développement ou à la progression du cancer, en particulier en cas de lésion préexistante, mais également à la formation de métastases et à la récidice des cancers en rémission, selon un ancien professeur de l’université de Yale, Yuri Lazebni[62].

Précision, l’ivermectine, dont l’efficacité contre le COVID-19 est confirmée à ce jour par plus de 100 études, possède de nombreux effets antitumoraux[63] (inhibition des cellules souches tumorales, de la prolifération, des métastases et de l’activité angiogénique, accélération de la mort programmée des cellules cancéreuses, inversion de la multirésistance aux médicaments), dont sa capacité à inhiber la formation de syncytia induite lors de la fusion cellulaire médiée par la protéine Spike[64]. L’ivermectine, nobélisée en 2006, présente un niveau de sécurité exceptionnel, y compris chez les enfants et les femmes enceintes, ce qui en fait une molécule essentielle selon l’OMS. Pourquoi n’a-t-elle pas été autorisée alors que l’on ne savait rien de l’efficacité, de la sécurité et du potentiel cancérigène des injections ARNm ? La question devra tôt ou tard être posée.

10. Altération de la surveillance immunitaire 

L’ARNm modifié rend les cellules tumorales « invisibles » en bloquant l’activation des récepteurs de première ligne du système immunitaire (récepteurs de type Toll, ou TLR).

Karikó et Weissman, les deux chercheurs à l’origine du vaccin anti-COVID de Pfizer, expliquaient en 2005[65] que la modification synthétique de l’ARN par l’ajout de m1Ψ (pour laquelle ils ont obtenu le prix Nobel de médecine), supprimaient partiellement ce bouclier en bloquant la capacité de l’ARN naturel à activer les cellules dendritiques primaires. Or l’une des fonctions de ces cellules est de reconnaître ou de « signaler » les agents pathogènes, en particulier les cellules cancéreuses, et d’induire une réponse immunitaire ciblée.

Ces résultats ont été confirmés en 2015[66] et 2016[67]. L’étude de 2016 démontre par ailleurs que l’utilisation d’ARNm synthétique n’est pas plus performante que l’ARN naturel alors qu’elle en augmente la toxicité (élévation des cytokines, neutrophilie), notamment en activant les cellules myéloïdes dans le sang et la rate, ce qui peut refléter un processus cancérigène.

Une étude de 2021[68] confirme que les récepteurs de type Toll peuvent agir comme une arme à double tranchant et « améliorer la pathologie » qu’ils sont censés prévenir lorsque les réponses TLR sont dysrégulées.

11. Décalage de cadre (frameshift)

L’ARNm modifié des vaccins Pfizer et Moderna produit une réponse immunitaire aberrante lorsqu’il est traduit. Dans un tiers des cas, l’ARNm vaccinal produit une protéine « absurde » ou inconnue, autre que la protéine Spike pour laquelle il est programmé. L’étude[69] a été publiée en janvier 2024. Les auteurs conviennent que si ces erreurs de traduction ne sont pas résolues avec la prochaine génération de vaccins COVID-19, elles poseront un problème de sécurité majeur. Ils estiment toutefois que cette découverte ne remet pas en cause la sécurité de la technologie. Une autre équipe de chercheurs[70] a émis un diagnostic beaucoup plus sévère en juin dernier sur cette défaillance majeure de la plateforme ARNm :

les ARNm modifiés […] ne sont pas utilisables en clinique en raison de leur nature durable, potentiellement permanente et immunostimulante. […] La nature persistante de l’ARNm codant pour la protéine Spike du SARS-CoV-2 entraîne une exposition dangereusement longue à une dose illimitée de cette protéine pathogène, et doit donc être réévaluée pour une utilisation continue chez l’homme.

12. Injections multiples

Les expositions répétées à l’ARNm synthétique et la Spike vaccinale entraînent un épuisement du système immunitaire[71]. Cette immunosuppression, qui s’explique probablement par l’opitimisation des codons et par le mécanisme de facilitation dépendante des anticorps (ADE)[72],[73], suspecté dès les essais cliniques, est marquée par un changement de classe des anticorps (IgG4)[74],[75],[76] aujourd’hui massivement documenté et soutenu par une série d’études démontrant l’efficacité négative des injections. La fondation Peter McCullough en a recensé sept à ce jour[77],[78],[79],[80],[81],[82],[83]. Cette modification catastrophique de la réponse immunitaire, non observée après une vaccination hétérologue ou avec des vaccins ADN (Irrgang), entraîne une tolérance immunitaire (les agents pathogènes cessent d’être reconnus comme tels) qui favorise les réinfections[84],[85] et la susceptibilité au cancer[86],[87],[88],[89].

13. Contamination ADN des vaccins Pfizer et Moderna

Les vaccins Pfizer et Moderna contiennent de l’ADN plasmidique frauduleux[90],[91],[92],[93], dont la forme (double brin circulaire) le rend « compétent pour la réplication », ce qui signifie qu’il peut théoriquement s’intégrer au génome, et donc induire le cancer chez les vaccinés. Nous avons écrit de nombreux articles sur cette découverte, confirmée à ce jour par dix équipes de chercheurs[94] dans le monde, la dernière en date étant une généticienne moléculaire (Dr Soňa Peková)[95] mandatée par le gouvernement slovaque. Les quantités rapportées sont vertigineuses, puisqu’elles atteignent jusqu’à 500 fois le plafond fixé par l’Agence européenne des médicaments, ce qui implique que l’intégration dans le génome peut se faire spontanément, maximisant le risque de cancer.

14. Séquences ADN de SV40 oncogène dans l’injection Pfizer

L’ajout de séquences stratégiques de SV40, utilisées en génétique pour « hacker » le noyau cellulaire[96], décuple la capacité de l’ARNm à s’intéger dans le génome.

Son utilisation, prohibée par la FDA, a finalement été concédée par Pfizer, mais le laboratoire soutient qu’elle ne présente aucun risque sanitaire. Sa cancérogénicité, déjà abondamment documentée, a pourtant été confirmée en octobre dernier par une étude publiée dans le New England Journal of Medicine[97]. La possibilité qu’il puisse entraîner des cancers est par ailleurs suggérée par une étude[98] récente impliquant des sujets vaccinés Pfizer et Moderna, où des antigènes tumoraux ont été retrouvés exclusivement dans le sang des vaccinés Pfizer.

Selon le Dr McKernan, à l’origine de cette découverte, l’ensemble des vaccins Pfizer (adultes, pédiatriques, monovalents, bivalents) seraient concernés par cette fraude dont l’origine est attribuée au changement de méthode[99] de production effectué après l’homologation des injections pour répondre aux contraintes industrielles liées au contexte pandémique. Le Pr Angus Dalgleish, l’un des oncologues les plus éminents au monde, a rappelé dans ce contexte que le SV40 est la substance que les chercheurs en cancérologie injectent aux souris pour induire un cancer lorsqu’ils veulent tester une chimiothérapie. Le laboratoire Pfizer, qui occupe désormais une position de quasi monopole sur le marché des traitements anticancéreux pouvait-il l’ignorer ? Non, et il n’a pas modifié sa formule malgré l’effondrement de la demande de vaccins.

15. Dérégulation du système rénine-angiotensine (SRA)

La protéine spike vaccinale entraîne la suractivation d’un récepteur clé (AT1R) du système rénine-angiotensine, qui commande notamment la multiplication des cellules. Cette suractivation favorise la vascularisation, et donc la prolifération des tumeurs, et engendre un stress oxydant délétère pour les cellules. Le Dr Jean-Marc Sabatier[100] a alerté dès mars 2020 sur les conséquences de ce dérèglement physiologique, à l’origine d’un déséquilibre entre la réponse immunitaire innée et acquise, et dont il avait prophétisé qu’il risquait d’induire de nombreux cancers.

16. Destruction du microbiote

Les « vaccins » à ARNm détruisent les bifidobactéries présentes dans le microbiote (flore intestinale), qui joue un rôle clé dans la régulation du cancer et les réponses aux thérapies anticancer. Une étude révolutionnaire publiée par le Dr Sabine Hazan[101] a montré en 2022 que la vaccination ARNm contre le COVID décime les bifidobactéries présentes dans le microbiote intestinal, où cette perte a été observée chez les patients atteints de cancer invasif. L’impact délétère des injections sur le microbiote semble confirmé aujourd’hui par la découverte de protéine Spike dans une biopsie de tumeur de côlon chez un patient vacciné Pfizer.

17. Augmentation de la résistance aux traitements

La protéine Spike virale et potentiellement vaccinale prolonge la survie des cellules cancéreuses après une exposition à la chimiothérapie. Ce résultat a été mis en évidence en 2024 par S. Zhang et WS El-Deiry. Bien que les preuves se limitent à la protéine Spike virale, les auteurs estiment que cette perturbation de la réponse immunitaire, qui est étroitement corrélée à l’inhibition du gène p53 età l’altération de la réponse aux dommages de l’ADN, peut être favorisée par les injections répétées, administrées sous forme de rappels, et par les quantités astronomiques de protéine Spike produite.

On pourrait ajouter à ce tableau catastrophique[102] la probable présence de gènes cachés dans les injections, dont personne ne peut prédire l’impact qu’ils pourraient avoir sur la santé. On ne peut malheureusement citer aucune preuve de l’innocuité des injections, dans la mesure où leur cancérogénicité n’a été évaluée dans aucun essai, et où aucune étude ne démontre, à notre connaissance, que les injections ne peuvent pas induire, réveiller ou accélérer un cancer.

Un essai clinique de grande ampleur lancé en 2021 en Australie se proposait de répondre à cette question. Il a été brutalement interrompu sans explication par les autorités australiennes, qui s’apprêtent à détruire illégalement les millions d’échantillons de tissus biologiques collectés à cette fin. Autre fait profondément troublant, plusieurs pays ont rapporté l’existence de lots Pfizer hautement toxiques suggérant que le laboratoire a développé des produits de trois niveaux de toxicité différents. Des clusters de cas de cancer se sont récemment déclarés dans plusieurs hôpitaux aux États-Unis et en Australie. Or le vaccin administré à l’une des infirmières concernées est précisément issu de l’un de ces lots à haut risque, qui correspond à celui où les plus importantes quantités d’ADN ont été retrouvées.

L’actuelle épidémie planétaire dont plus personne ne conteste la réalité a-t-elle été anticipée afin de tester la technologie sur laquelle l’industrie a massivement misé en dépit de son échec catastrophique[103] et dans laquelle elle a d’ores et déjà investi des sommes vertigineuses qui lui interdisent aujourd’hui de faire machine arrière ? C’est ce que pense le mari d’une infirmière, décédée d’un cancer quelques mois après avoir s’être fait vacciner pour ne pas perdre son emploi, et dont l’époux porte plainte pour empoisonnement avec préméditation.


Références

[1] Acevedo-Whitehouse K, Bruno R. Potential health risks of mRNA-based vaccine therapy: A hypothesis. Med Hypotheses. 2023 Feb;171:111015. https://doi.org/10.1016/j.mehy.2023.111015.

[2] Valdes Angues R, Perea Bustos Y. SARS-CoV-2 Vaccination and the multi-hit hypothesis of oncogenesis Cureus. 2023 Dec 17;15(12):e50703. https://doi.org/10.7759/cureus.50703.

[3] Aldén M, Olofsson Falla F, Yang D, Barghouth M, Luan C, Rasmussen M, et al. Intracellular reverse transcription of Pfizer BioNTech COVID-19 mRNA vaccine BNT162b2 in vitro in human liver cell line. Curr Issues Mol Biol. 2022 Feb 25;44(3):1115-26. https://doi.org/10.3390/cimb44030073.

[4] Chandramouly G, Zhao J, McDevit S, Rusanov T, Hoang T, Borisonnik N, et al. Polθ reverse transcribes RNA and promotes RNA-templated DNA repair. Sci Adv. 2021 Jun 11;7(24):eabf1771. https://doi.org/10.1126/sciadv.abf1771.

[5] Zhang L, Richards A, Barrasa MI, Hughes SH, Young RA, Jaenisch R.. Reverse-transcribed SARS-CoV-2 RNA can integrate into the genome of cultured human cells and can be expressed in patient-derived tissues. PNAS. 2021 May 25;118(21):e2105968118. https://doi.org/10.1073/pnas.2105968118.

[6] Breda L, Papp TE, Triebwasser MP, Yadegari A, Fedorky MT, Tanaka N, et al. In vivo hematopoietic stem cell modification by mRNA delivery. Science. 2023 Jul 28;381(6656):436-443. https://www.doi.org/10.1126/science.ade6967.

[7] Le Dr McKernan a fait cette découverte en analysant la biopsie du cancer du côlon d’une personne ayant reçu quatre injections d’ARNm de Pfizer. Le député et ancien ministre japonais Kazuhiro Haraguchi a déclaré publiquement fin mai que de la protéine Spike vaccinale avait également été retrouvée dans les cellules cancéreuses de son lymphome malin.

[8] https://x.com/tatiann69922625/status/1931708697379480010. Cette découverte a fait l’objet d’une discussion avec l’épidémiologiste Nicolas Hulscher : https://www.thefocalpoints.com/p/breaking-reverse-transcription-cancer.

[9] Singh N, Singh AB. S2 Subunit of SARS-nCoV-2 interacts with tumor suppressor protein p53 and BRCA: an in silico study. Transl Oncol. 2020 Oct;13(10):100814. https://doi.org/10.1016/j.tranon.2020.100814. Les résultats de cette étude ont été publiés le 30 juin 2020.

[10] Chen X, Zhang T, Su W, Dou Z, Zhao D, Jin X, et al. Mutant p53 in cancer: from molecular mechanism to therapeutic modulation. Cell Death Dis. 2022 Nov 18;13(11):974. https://doi.org/10.1038/s41419-022-05408-1.

[11] Selon Valdes Angues et al., « Les cancers associés aux mutations TP53 incluent le cancer du sein, les sarcomes des tissus osseux et mous, les tumeurs cérébrales et les carcinomes corticosurrénaliens. D’autres cancers moins fréquents incluent la leucémie, le cancer de l’estomac et le cancer colorectal. Les cancers associés à une altération de l’activité de BRCA1 comprennent le cancer du sein, de l’utérus et de l’ovaire chez les femmes, le cancer de la prostate et du sein chez les hommes, et une augmentation modeste du cancer du pancréas chez les hommes et les femmes. Les cancers les plus fréquemment rapportés avec des mutations BRCA2 incluent le pancréas, la prostate chez les hommes et le mélanome ».

[12] Jiang H, Mei YF. SARS-CoV-2 spike impairs DNA damage repair and inhibits v(d)j recombination in vitro. Viruses. 2021;13(10):2056. https://doi.org/10.3390/v13102056. Lien vers l’étude en français : https://www-mdpi-com.translate.goog/1999-4915/13/10/2056?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp.

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[88] Goldman S, Bron D, Tousseyn T, Vierasu I, Dewispelaere L, Heimann P, et al. Rapid progression of angioimmunoblastic T cell lymphoma following BNT162b2 mRNA vaccine booster shot: a case report. Front Med (Lausanne). 2021 Nov 25;8:798095. https://doi.org/10.3389/fmed.2021.798095.

[89] Sekizawa A, Hashimoto K, Kobayashi S, Kozono S, Kobayashi T, Kawamura Y, et al. Rapid progression of marginal zone B-cell lymphoma after COVID-19 vaccination (BNT162b2): a case report. Front Med (Lausanne). 2022 Aug 1;9:963393. https://doi.org/10.3389/fmed.2022.963393.

[90] McKernan K. Pfizer and Moderna bivalent vaccines contain 20-35% expression vector and are transformation competent in E. coli. 2023. https://anandamide.substack.com/p/pfizer-and-moderna-bivalent-vaccines.

[91] McKernan K (Medicinal Genomics, US), Nitta T (Tokyo Univ, Japan), Buckhaults PJ (University of South Carolina, US), König B et Kirchner JO (MMD Indep Lab, Magdeburg, Germany), Speicher DJ (University of Guelph, Canada) et McKernan K (Medicinal Genomics, US), Speicher DJ (University of Guelph, Canada), Raoult D (IHU Marseille, France), Kämmerer U (Univ. Hospital of Würzburg, Germany), Wang TJ, Kim A et Kim K, (FDA scientists, Centreville High School, US, executed at FDA White Oak Campus). Résultats dans : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1gJj3GSrM-UJR9c6Lrcn1k8_buQkQznuUVSKuMR8_2lU/edit?gid=0#gid=0.

[92] Speicher DJ. Full Detailed Report. 2024 Sept 9. https://russellbroadbent.com.au/wp-content/uploads/David-Speicher-Report-2.pdf.

[93] Kämmerer U, Schulz V, Steger K. BioNTech RNA-Based COVID-19 Injections Contain Large Amounts of Residual DNA including an SV40 Promoter/Enhancer Sequence. Public Health Policy Law. 2024 Mar 12. https://publichealthpolicyjournal.com/biontech-rna-based-covid-19-injections-contain-large-amounts-of-residual-dna-including-an-sv40-promoter-enhancer-sequence/.

[94] Wang TJ, Kim A, Kim K. A rapid detection method of replication-competent plasmid DNA from COVID-19 mRNA vaccines for quality control. J High School Sc. 2024;8(4):427-39. https://jhss.scholasticahq.com/article/127890-a-rapid-detection-method-of-replication-competent-plasmid-dna-from-covid-19-mrna-vaccines-for-quality-control.

[95] Peková S. Quantitative Multiplex Real-Time PCR analysis of Moderna (Spikevax) and Pfizer (BNT162b2) vaccines. 2025 Mar 8. https://www.10letters.org/CzechResearch.pdf.

[96] Dean DA, Dean BS, Muller S, Smith LC. Sequence requirements for plasmid nuclear import. Exp Cell Res. 1999 Dec 15;253(2):713-22. https://doi.org/10.1006/excr.1999.4716.

[97] Duncan CN, Bledsoe JR, Grzywacz B, Beckman A, Bonner M, Eichler FS, et al. Hematologic cancer after gene therapy for cerebral adrenoleukodystrophy. N Engl J Med. 2024 Oct 10;391(14):1287-1301. https://doi.org/10.1056/nejmoa2405541. Voir notre article : https://lepointcritique.fr/2024/10/14/nouvelle-preuve-inedite-cancerogenicite-injections-anti-covid-pfizer/.

[98] Hickey TE, Mudunuri U, Hempel HA, Kemp TJ, Roche NV, Talsania K, et al. Proteomic and serologic assessments of responses to mRNA-1273 and BNT162b2 vaccines in human recipient sera. Front Immunol. 2025 Jan 27;15:1502458. https://doi.org/10.3389/fimmu.2024.1502458.

[99] OpenVaet, Syed KA, Guetzkow J, Cobalt J, Kunadhasan J, Jackson B. Pfizer/BioNTech C4591001 Trial – Audit Report – v1 (2024-05-31) Reanalysis of the data and anomalies inventoried. 2024 May 31. https://openvaet.substack.com/p/pfizerbiontech-c4591001-trial-audit?open=false#%C2%A7evidence-the-planned-comparison-of-processes-and-was-never-conducted.

[100] Fajloun Z, Sabatier JM. The unsuspected role of the renin-angiotensin system (RAS): Could its dysregulation be at the root of all non-genetic human diseases? Infect Disord Drug Targets. 2024;24(1):e140923221085. https://doi.org/10.2174/1871526524666230914114524.

[101] Hazan S, Dave S, Barrows B, Borody T. Messenger RNA SARS-CoV-2 vaccines affect the gut microbiome. Am J Gastroenterol. 2022 Oct;117(10S):e162. https://doi.org/10.14309/01.ajg.0000857548.07509.09.

[102] Beaudoin CA, Bartas M, Volná A, Pečinka P, Blundell TL. Are There Hidden Genes in DNA/RNA Vaccines? Front Immunol. 2022 Feb 8;13:801915. https://doi.org/10.3389/fimmu.2022.801915.

[103] Au delà de l’échec des injections anti-COVID, qui ont été homologuées sur la conviction des laboratoires qu’elles pourraient « probablement prévenir de nouvelles vagues pandémiques et ainsi réduire considérablement la mortalité due à la maladie » (p. 14 du rapport d’évaluation du vaccin Comirnaty de Pfizer/BioNTech), la généticienne Alexandra Henrion Caude rapporte qu’en l’espace de vingt ans, aucun des 70 essais cliniques où cette technologie a été testée, sur 17 maladies différentes, n’a franchi le stade de la phase 1-2 (Les Apprentis Sorciers, p. 84). Voire la présentation de son livre au Parlement européen, le 18 avril 2023 : https://www.youtube.com/watch?v=6HH5IyccJNk.

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